Plus de fluidité dans tes émotions,
Avec une expression dans l’ici et maintenant,
en laissant couler plutôt que de retenir et “faire cocotte minute”.
Un rapport plus réaliste à tes besoins de base, aux autres et à la Nature.
Ça t’intéresse ?
Attention, il ne s’agit pas de supprimer les émotions,
mais plutôt de lisser les pics, et permettre qu’elles s’expriment au moment le plus juste.
Mais ce n’est pas tout, ce protocole te permettra aussi de récupérer de l’énergie bloquée dans des chamboulements émotionnels passés, à travers le temps.
Petit historique :
Lors d’un stage animé en mai 2014, une évolution énergétique importante permettant de lâcher des blocages qui se situent au niveau de nos intestins, s’est révélée.
Cette levée de blocage n’était pas accessible auparavant, tout simplement parce que le blocage était nécessaire, voir l’explication un peu plus loin.
Nous travaillions alors sur 1 point, qui permet la fluidification de l’émotionnel, en permettant son expression au moment de l’événement qui l’a généré.
Cela évite que la charge émotionnelle s’accumule et n’explose finalement à un autre moment, qui ne justifie pas une telle intensité.
On connaît l’exemple de la personne qui s’en est pris plein la tête au boulot en serrant les dents et se décharge le soir en rentrant sur son/sa conjoint(e) et ses enfants, pour une broutille, non ?
En septembre 2019, une grosse évolution s’est de nouveau invitée durant un autre stage.
Il y a maintenant 3 points concernés. Avec ceux-ci, une nouvelle dynamique s’intègre et permet la récupération de l’énergie des charges émotionnelles bloquées à travers le temps.
Pourquoi ce blocage ?
Il est présent chez tous les humains, et a une origine très ancienne.
Il se passe de génération en génération.
Il a été très utile jusqu’à maintenant, en jouant un rôle de soupape de sécurité vis à vis d’une logique d’agressivité qui aurait amené l’espèce humaine à se détruire.
Très utile à une période, puisqu’il nous a évité de nous entre-tuer.
Il a permis à l’individualité de se développer et donc à une diversité d’expériences d’apparaître.
D’où vient ce blocage ?
Laisse-moi te raconter une petite histoire,
Il était une fois, il y a bien longtemps, oui, on va dire jusque fin du paléolithique, les hommes, les femmes vivaient dans une Nature primordiale, à sa merci et lui devant tout, à cette Mère terrible de générosité et d’intransigeance.
Leur relation avait une dimension sacrée.
Une vie qui frôle la survie à chaque instant, qui fait se sentir si vivant.
Et de fait, pas d’autre choix que de respecter les cycles de la Nature, de s’y soumettre, d’être à l’écoute et de développer une connaissance très fine, un lien très fort.
Et puis l’autre pilier de la survie : la force du groupe, dont l’importance prédomine sur l’individu.
La priorité est la survie de la communauté.
Selon certaines hypothèses, il semblerait qu’à cette époque, il n’y avait pas tant de conflits, de guerres entre clans.
La vie est si fragile.
Et puis, on arrive au Néolithique.
Sur une longue période, l’humain va se sédentariser, il va essayer de maîtriser la Nature, la clôturer, élever, cultiver, échafauder ses propres règles,sortir de la dépendance totale à ses cycles.
Mais quel rapport avec le blocage lié à l’émotionnel ?
Et bien ce grand changement de mode de vie a plusieurs conséquences : on crée la propriété, donc, ceux qui ont, ceux qui n’ont pas, ou moins.
La Nature, il faut la dominer, saigner la terre, couper, brûler, prendre le pouvoir…
Ça a sûrement été l’une des périodes les plus décisives pour la trajectoire de l’espèce humaine.
Complètement par hasard ou juste la continuité de l’évolution ?
Peut-être pas.
“Légèrement” orientée, ?
C’est possible.
Pourquoi ?
Dans le but de générer un maximum de diversité d’expériences.
Après tout, c’est le but de l’Unité, apprendre à se connaître dans la multiplicité de toutes les facettes possibles, y compris les pires.
Aussi riche que soit la vie de chasseurs cueilleurs, aussi spirituelle, profonde et connectée soit-elle, quelle diversité offre-t-elle?
Du respect envers la vie, envers l’autre, envers la Nature.
Le sens du sacré, de la vie.
Regarde les rares tribus qui vivent encore sur ce mode.
Ils vivent leurs belles traditions depuis des millénaires, reproduisant inlassablement les cycles, se nourrissant de la sagesse, observant, écoutant.
Non, ils n’ont pas inventé de super technologie, leur mode de vie, n’a pas beaucoup changé mis à part les tracas que notre civilisation “civilisée” leur impose.
C’est assez triste comme constat mais quand ça frotte, ça pique, qu’il y a du conflit, de l’opposition, de l’individualisme, l’humain déploie des trésors de créativité pour y faire face.
Regarde où nous en sommes, quel prodigieux déploiement d’inventivité, dans tous les domaines, pour le meilleur et pour le pire…
Donc, le choix a été fait de pousser une grosse partie de l’humanité dans cette voie.
Oui, mais…!
Il fallait aussi que cela soit viable, et l’espèce humaine n’était pas prête à vivre selon ces nouvelles modalités en gérant correctement son émotionnel.
C’est pourquoi il y a eu un petit coup de pouce pour que cela ne finisse pas très rapidement dans un bain de sang. Cela a permis de se soustraire à des peurs primitives qui auraient généré des pulsions agressives et destructrices.
Et hop, un petit blocage, qui coupe de l’émotionnel.
Qui coupe aussi d’un vrai rapport direct à la Nature, pour pouvoir moins la respecter, plus la dominer.
Mais avec le dommage collatéral de se couper d’une partie de soi, de ses besoins de base, et de la Nature.
Ce blocage a été posé par une énergie non-terrestre.
Ouuuuuuuh !!! La méchante énergie qui limite et contrôle l’espèce humaine !!!
Ben non, sinon, elle n’existerait plus l’espèce en question, donc c’était plutôt bienveillant d’un certain point de vue. D’autant plus que le plan global était déjà dessiné.
Et c’est également une énergie non terrestre qui nous aide à l’enlever, maintenant que nous sommes, à priori, capables de vivre sans.
Que nous amène la levée de ce blocage?
Comme dit plus haut il joue sur la fluidification de l’émotionnel et la récupération d’énergie à travers le temps.
Mais c’est aussi plus large.
En effet, avec le temps, ce blocage a mis en point aveugle les émotions en lien avec nos besoins primaires.
Mais nous sommes dans une période de mise en lumière et de purification de la gestion de nos émotions.
S’autoriser à voir ce que nous mettons derrière les mots.
Permettre plus de cohérence entre les idées, les concepts et leur mise en action.
Regarder les choses telles qu’elles sont : « sortir la tête du sable ».
Cette évolution énergétique permet donc de mettre en lumière des points aveugles, des aspects de nous-même jusqu’alors impossible à appréhender.
Aujourd’hui, il est utile, voire vital de dépasser ce blocage et de lever ce point aveugle sur nos peurs liées aux besoins de base.
Il est ainsi possible de sortir de l’illusion d’un lien biaisé à la nature et aux autres humains.
Cette illusion fausse la vision de la nature, qui est trop idéalisée.
Quel rapport entre émotions et notre vision de la Nature ?
En fait, nous cherchons à étouffer la plupart de nos émotions car elles nous montrent sans filtre notre place dans le monde, et nos incohérences.
Nous sommes actuellement, en majorité, dans un rapport biaisé et pervers avec la Nature, “je t’aime et je te tue”.
Donc nous préférons une vision très idéalisée de la Nature, certes rassurante pour le mental, mais qui pousse finalement, à vouloir contraindre la Nature à ressembler à notre fantasme de la nature.
Mais,
“ Pour pouvoir commander à La Nature, il faut d’abord lui obéir. »